A l'occasion d'une affaire dans laquelle j'ai défendue une femme victime de violences physiques et psychologiques de la part de son partenaire, la presse locale a couvert le procès.
Ce dernier se servait notamment des réseaux sociaux pour l'espionner et la surveiller.
Si l'auteur a été condamné à 6 mois ferme, il a finalement exécuté cette peine en portant un bracelet électronique.
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Cette même affaire a été reprise par un journaliste souhaitant illustrer la pratique des cyberviolences dans le couple.
Il explique cette mécanique à l'appui de nombreux exemples (édition réservée aux abonné.e.s) :